de Pomme Meffre
C'est un film sur l'intégration, sur la possibilité de vivre ses deux cultures si différentes : l'une enracinée profondément à une histoire, à des coutumes, à un pays, l'Algérie, l'autre ancrée dans une réalité quotidienne en France. Mais c'est en particulier des femmes dont parle ce film.
À propos du film : Souviens-toi de moi
Les Corps ouverts est un film envoûtant. Rien ne nous sera imposé, ni la sacro-sainte histoire, ni aucun jugement ou analyse. Il faut tout ouvrir comme disent les danseurs, s'ouvrir au film comme son jeune personnage s'ouvre au monde.
À propos du film : Les Corps ouverts
Circuit Carole, c'est le portrait d'une mère, ou plutôt, le portrait d'une femme lestée, lestée de son amour pour sa fille. Qui ne bougera pas – comme on dit d'une mère justement, vous savez, sur ce ton mi-affectueux mi-agacé : « elle ne changera jamais ». Alors elle bouge pas, la mère de Circuit Carole. Elle veut rien savoir.
À propos du film : Circuit Carole
de Paul Verstraten
Drôle de film que celui de Michel Spinosa. A la fois classique, contemporain et romantique. Ca fait beaucoup trop ? Pas pour moi. Au contraire. L'histoire a, en quelque sorte déjà eu lieu avant que le film ne commence : une femme et un homme se retrouvent après tant d'années de séparation pour revivre leur passion.
À propos du film : Emmène-moi
Jusqu'où ? Le film de FINKIEL pose la question obsédante du devenir de l'homme dans une société qui accepte - sous la contrainte du produire plus pour consommer sans modération - son absence d'humanité.
À propos du film : Nulle part, terre promise
Le film Nulle part, terre promise commence avec le mouvement d'une jeune femme qui déambule dans une architecture où les images se multiplient, se brouillent. Ensuite ça ne s'arrête plus, mouvement perpétuel, entrelacement de trois récits, chacun en mouvement, le rythme de chaque histoire est donné par le mode de déplacement, train, camion, errance dans la ville ou les zones pré-urbaines.
À propos du film : Nulle part, terre promise
de Claire Simon
L'Examen de minuit est un film drôle, haletant, déconcertant. C'est-à-dire que c'est une histoire, toute une histoire comme Danièle Dubroux sait les inventer, une histoire où l'on est surpris, épris, et pris. Tout y est à la fois documentaire et invraisemblable, bref c'est pas des clichés, c'est presqu'aussi dingue que dans la vie.
À propos du film : L'Examen de minuit
de Alain Raoust
Le film de Marie Vermillard est avant tout un enchantement mais aussi l'occasion d'une expérience précieuse : celle d'établir le portrait d'une inconnue en allant, comme par un mouvement circulaire se resserrant sur son centre, de ce qui l'entoure à ce qui le distingue.
À propos du film : Lila Lili
C'est l'histoire d'un enfant, Amine, mais on ne le verra presque pas, comme si par pudeur, le cinéaste ne voulait pas nous raconter cette histoire. Et tout le film semble confronté à la douleur de cette histoire, et cherche une façon de la contourner, pour ne pas la voir de face, pour ne pas s'avouer vaincu peut-être, ou retarder ce moment jusqu'à la dernière minute.
À propos du film : Chroniques marocaines
de Aubert Mukendi
_ L'évolution du Zaïre peut être décrite comme se déroulant sur quatre périodes, chacune des périodes est représentée par un personnage : la première période c'est l'homme qui parle de liberté, de démocratie, et de bonheur, et elle a débouché sur l'indépendance avec Lumumba.
À propos du film : Zaïre, le cycle du serpent