de Alice Odiot et Philippe Fernandez
Le cinéaste a choisi le centre de la Sicile comme un miroir de l'Europe, pour nous raconter le destin de ceux qui mènent une vie décidée par d'autres (...).
À propos du film : Il Mio Corpo
de Idir Serghine, Jean-Louis Gonnet et Aude Chevalier-Beaumel
C'est à rebours de toute considération rationnelle que Nora Martirosyan nous entraîne. Elle s'emploie ainsi à nous démontrer qu'un territoire, un monde, n'existent en réalité que parce que nous décidons d'y croire. La réalisatrice fabrique avec minutie sa mise en scène en nous plongeant dans des paysages majestueux dans lesquels s'inscrivent ses personnages. (...)
À propos du film : Si le vent tombe
Digne descendante du Rayon vert de Rohmer, cette quête sans se l'avouer nous plonge avec délice dans l'état de vacance de l'héroïne et dans la torpeur de l'été madrilène où chaque rencontre arrive comme un morceau de l'énigme.
À propos du film : Eva en août
de Alain Raoust
À propos du film : Les Affluents
de Hélène Milano et Alain Raoust
À propos du film : La Última Primavera (Last Days of Spring)
de Stéphane Batut et Michaël Dacheux
À propos du film : Walden
de Caroline Capelle et Ombline Ley
À propos du film : Funambules
Il y a des femmes qui peuplent nos vies de spectateurs et Malika en fera résolument partie. L'héroïne du nouveau film d'Hassen Ferhani tient un café au bord de la Nationale 1 : La Transsaharienne, à 900 km au sud d'Alger, traverse le désert algérien jusqu'à la frontière du Niger. Voilà pour le décor.
À propos du film : 143, Rue du Désert
de Diego Governatori et Clément Schneider
Avec un réel brio, les réalisateurs parviennent, scène après scène, à laisser l'invisible imprimer sa marque sur l'image, engageant derrière eux notre propre croyance, qui est aussi celle que nous avons dans un certain pouvoir magique du cinéma.
À propos du film : Kongo
de Christian Sonderegger et Idir Serghine
Derrière la vitre de sécurité, la silhouette agitée d'un détenu tournant en rond. La scène dure, hypnotique. La caméra insiste. Les traits du jeune homme nous deviennent familiers. Sa rage fait place à la détresse. Sous nos yeux, il s'humanise. En un plan, les cinéastes plantent le décor et exposent sans équivoque leur ambition : déceler l'humanité en milieu carcéral.
À propos du film : Des Hommes