de Marta Bergman, Hanna Ladoul, Marco La Via et Idir Serghine
Pour survivre, faut-il s'enfuir ? Creusant le sillon d'un cinéma indépendant américain soucieux de se confronter au réel, la jeune cinéaste Annabelle Attanasio met en récit le désir d'émancipation d'une adolescente.
À propos du film : Mickey and the Bear
de Jules Zingg
Si c'était de l'amour est un film dont il est difficile de cerner la forme. Si on peut croire assister dans un premier temps à un making-of sur la création d'un spectacle chorégraphique (Crowd, de Gisèle Vienne), le film se déplace peu à peu vers un portrait plus intime de ses interprètes.
À propos du film : Si c'était de l'amour
de Aurélia Barbet et Laure Vermeersch
Au début étaient l'enfant et son don d'invisibilité. L'incroyable séquence d'ouverture donne le La de la mise en scène : ample et virevoltante, précise et attentive.
À propos du film : L'Angle mort
de Delphine Deloget et Jean-Louis Gonnet
À propos du film : Indianara
de Aurélia Barbet, Michaël Dacheux et Clément Schneider
On pouvait croire la quête d'Orphée remisée au rang de vieille lune coctalienne, et la voici ici ravivée : le pari est rare, signe d'un beau courage, battant en brèche les modes. Vif-Argent arrive comme un réconfort pour rassurer notre croyance dans le cinéma à faire se rencontrer des mondes a priori hermétiques, en refusant l'inéluctable.
À propos du film : Vif-Argent
Entrer dans le film c’est tout de suite être pris dans la parole d’Aurélien, d’emblée spectaculaire et saisissante, par laquelle il essaye de formuler son angoisse et ses difficultés à être parmi les autres.
À propos du film : Quelle folie
À propos du film : Ne croyez surtout pas que je hurle
Parfois le ronronnement cesse. La machine à enquiller les films, de mercredi en mercredi, s’enraye et un film est là qui s’impose, impose silence au bavardage distrayant du cinéma comme il va. « Ne Croyez Surtout pas que je Hurle » est de cette teneur-là.
À propos du film : Ne croyez surtout pas que je hurle
de Sylvie Ballyot et Idir Serghine
Rêves de jeunesse, par le souffle poétique qui le traverse de part en part, s'autorise des embardées qui nous poussent à repenser ce que nous avons en commun.
À propos du film : Rêves de jeunesse