Magazine

Paroles de cinéastes

    Paroles de cinéastes

    À propos des Gens normaux n'ont rien d'exceptionnel

    de Cédric Kahn

    Les gens normaux n'ont rien d'exceptionnel réussit là où le cinéma français échoue si souvent, à traiter avec humour, force et énergie d'un sujet dramatique et plus étonnant encore, à déplacer l'idée même de la marginalité, jusqu'à ne plus savoir de quel côté du mur d'un hôpital psychiatrique elle se trouve, une sorte de réhabilitation pour tous ceux qui pourraient penser qu'ils sont fous ou simplement anormaux, parce que pas exactement comme la société le voudrait… c'est-à-dire tout le monde.

    À propos du film : Les gens normaux n'ont rien d'exceptionnel

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos d'un Soir après la guerre

    de Olivier Ducastel

    Un soir après la guerre se déroule dans le Cambodge d'aujourd'hui. Il s'agit d'une histoire d'amour entre un jeune soldat qui rentre de la guerre et une jeune fille vendue comme prostituée qui cherche à se racheter, au sens propre du terme. Pourquoi cette histoire classique nous émeut-elle autant ?

    À propos du film : Un Soir après la guerre

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos de Petite chérie

    de Jean-Claude Guiguet

    Un premier film littéralement impressionnant, abouti dans toutes les parties de son projet est si rarement confirmé dans son excellence par les films suivants que l'on finit par devenir méfiant. Avec celui-là..., on doit, on peut, il faut croire en Anne Villacèque.

    À propos du film : Petite chérie

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos du Rêve algérien

    de Laurence Petit-Jouvet

    Un Rêve algérien raconte le voyage d'un homme qui retourne dans son pays pour la première fois depuis 1965. Il prend le bateau à Marseille, est accueilli à Alger par de nombreux amis qui l'embrassent, puis entame son périple durant lequel il nous guide. « C'était là… et ça c'était ça… » etc...

    À propos du film : Un Rêve algérien

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos de Carlo Giuliani, Ragazzo

    de Vincent Dieutre

    Deux mondes se font face, absolument étanches l'un à l'autre, répétant les figures fatiguées de la lutte en un jeu d'images symboliques pleines d'espoirs bariolés (du vert des Greenpeace au noir des Black Block). On danse, on hurle, on brise les idoles, en rangs épars vers la Zona Rossa du sommet.

    À propos du film : Carlo Giuliani, Ragazzo

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos de Pas de repos pour les braves

    de Marie Vermillard

    Etre jeune, vivre dans un coin reculé de la campagne française. Avoir le temps, l'espace, se poser mille questions, observer comment les hommes vivent et puis se raconter des histoires d'hommes, de rapports de force, d'amour comme dans les films, les grands films classiques, qui sont notre mythologie de ce début de 21ème siècle.

    À propos du film : Pas de repos pour les braves

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos de No pasaràn, album souvenir

    de Alain Raoust

    Autant le dire tout de suite on ne tarira pas d'éloges sur le nouveau film d'Henri François Imbert. Pour commencer, on annoncera, haut et fort, qu'il s'agit d'un grand film à la finesse impressionnante. Un travail d'une incroyable maîtrise, d'une parfaite fluidité.

    À propos du film : No pasaràn, album souvenir

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos de Tropical Malady

    de Charles Castella

    Tropical Malady est comme une confirmation cinématographique à la déclaration de Baudelaire : « le beau est forcément bizarre ». Ainsi, les racines données par le Robert pour définir le bizarre collent aussitôt. Tropical Malady est donc un film brave, ça c'est pour « bizarro », la racine espagnole, mais aussi capricieux, et c'est pour la racine italienne.

    À propos du film : Tropical Malady

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos des Mains vides

    de Marina Déak

    Un bel homme circule dans les trains sans billet ; Mireille Perrier est contrôleur sur la même ligne de train : mais ce n'est pas l'histoire. Une très vieille femme rit beaucoup, surtout quand elle a bu ; elle cache aussi des liasses de billets dans ses tiroirs, à moins qu'elle ne les y ait oubliées, tout simplement. Ce n'est pas l'histoire non plus, bien que ces billets nourrissent, quelques personnages, et le film en sus. Alors où est l'histoire ?

    À propos du film : Les Mains vides

    lire
    Paroles de cinéastes

    À propos de Folle embellie

    de Oren Nataf

    Si les premiers plans de Folle Embellie planent doucement dans les airs, c'est bien le calme avant la tempête. Le générique à peine terminé, nous voilà sous les bombes en pleine deuxième guerre mondiale, et qui plus est, dans un asile de fous tenu par des fous. C'est la débâcle. La folie des pensionnaires a-t-elle versé sur le reste de la population ?

    À propos du film : Folle embellie

    lire

Recherche

Gestion des cookies

En poursuivant sur ce site vous acceptez l’utilisation de cookies, qui servent à vous proposer une meilleure expérience de navigation (vidéos, photos, cartes interactives).

Tout refuser